Carolina Katun : Teol à

Carolina Katùn : TEOL. La nouvelle révélation chanson/world/jazz : une musique intense et poétique

« Elle a cette voix de moire, au grain voilé, au phrasé lent et chavirant, capable de charrier la plus profonde mélancolie avec un calme qui agit comme un baume : impossible (…) de ne pas penser à la regrettée Lhasa. » f f f f - TELERAMA - Anne Berthod

Comme une ode au silence, le premier album de la chanteuse Mexicano-Suisse Carolina Katún, Al Silencio sorti en octobre 2018 chez Jazzland/OK World, le label de Bugge Wesseltoft a été la surprise de la rentrée 2018.
Une oeuvre métissée, portée par une voix aux couleurs multiples souvent comparée à celle de Lhasa, de Lila Downs ou encore de Barbara. Elle nous y emmène sur des chemins nouveaux à la redécouverte, entre autres, de chansons emblématiques du répertoire latino-américain.
Pour fêter sa première année, Carolina Katún nous propose une soirée exceptionnelle et invite sur scène l’accordéoniste Vincent Peirani et en première partie la pianiste Macha Gharibian.

Puisant ses ressources à la fois dans ses origines mexicaines mais aussi dans ses influences musicale variés : jazz, musique baroque, folk, pop, chanson française, musique électronique; elle assume ne rentrer dans aucune case en nous proposant un album au répertoire éclectique dont le fil conducteur sera la couleur unique portée par sa voix profonde et par son groupe TEOL, formé de musiciens phares de la scène jazz parisienne.

Constitué de Pierre Perchaud (Victoire du Jazz), Nicolas Moreaux (grand prix Charles Cros) et Arthur Alard, ils réinventent complètement ensemble certaines chansons emblématiques latino-américaines (La llorona, Alfonsina y el mar, ect) mais aussi un morceau de Purcell, de Robert Wyatt et composent quelques titres en français

Macha Gharibian (Première partie)

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